59 Commentaires positifs


Livre d'or fin 2018
Fin 2018

Commentaires d'auteurs satisfaits de la recension
 de leur ouvrage sur Dakerscocode,
ou de nos interventions ...

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10 août 2016
Les lignes qui vont suivre ne doivent pas être considérées comme une sorte d' "opération commerciale", mais comme une mutuelle congratulation d'un voyage-découverte très réussi au Tonkin.
Vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous :


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Merci pour la recension de la deuxième partie d'"Ana", que je viens de lire avec plaisir et intérêt. Un beau travail de synthèse dont je partage l'approche humaine.
Concernant le chant "Ratabrou", mes recherches par le passé ont été également vaines. Navré de ne pouvoir vous aider sur ce point.
En espérant que votre site continue d'attirer toujours plus l'attention des internautes.
Bien cordialement.

Christophe Touron

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1 juin 2016

Je suis ravie de l’intérêt que vous avez porté à notre Description de l’Égypte et à la mise en valeur que vous lui donnez à travers votre mention sur votre site.
J’ai eu grand plaisir à consulter une partie des articles présents sur ce site, j’y reviendrai sans aucun doute d’autres fois surtout pour tout ce qui concerne Napoléon Bonaparte.
Cordialement

Françoise Denizeau
(Directrice de la Bibliothèque "les Amours jaunes" - Morlaix)

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30 mai 2016



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 29 mai 2016
article de la revue des ingénieurs ESTP de décembre 2015


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8 mai 2016
La recension de notre livre "Quand le merle sifflera" par  Madame Haouaria Kadra Hadjadji nous a laissé totalement satisfait de cette recension. Elle est le premier auteur à avoir bien compris  le sens de ce livre. Qu'elle en soit remerciée.

http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/b%20112%20-%20RECENSION%20DU%20MERLE  
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17 mars 2016
  
MERCI ET BRAVO POUR TON TRAVAIL ET POUR TOUT CE QUE TU FAIS, POUR LE RAPPROCHEMENT SINCÈRE DES PEUPLES DES 2 RIVES DE LA MÉDITERRANÉE.
(Chamyl Boutaleb, Président de la Fondation Émir Abd-el-Kader) 
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13 janvier 2016 - Cher monsieur,
Merci pour votre travail.

(Pierre Daum, journaliste)

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9 janvier 2016 - Je vous remercie d'avoir apprécié la biographie de cette unique sultane et de l'avoir si bien résumée. J'ai des centaines de dessins arabes (égyptiens, syriens et irakiens) du XIIIème siècle qui pourraient illustrer joliment son histoire.  J'espère obtenir une autorisation de la Bibliothèque Nationale de France pour pouvoir les diffuser sur la toile.
Les XX et XXI siècles comptent de très nombreuses femmes égyptiennes de grande qualité, elles essaient tant et plus de lutter chacune dans leur domaine, je vous ferai part bientôt d'un livre qui paraîtra à leur propos.

Azza Heikal (Docteur es Lettres, Sorbonne, Paris IV, Langues Orientales)


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31 octobre 2015 - Je vous félicite pour ce passionnant documentaire sur mon ouvrage.
http://caucasekersco.blogspot.fr/search/label/a%2039%20-%2025%20SI%C3%88CLES%20DE%20VOYAGE%20EN%20OMAN
(Prince Xavier BEGUIN BILLECOCQ
Prince de DURAZZO
Docteur d'État en Histoire)

 
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25 octobre 2015 - Je me réjouis de cet aboutissement et vous remercie à nouveau de votre générosité.
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/b%20100%20-%20LES%20GUERRES%20SANS%20NOM
 
Catherine Brun
(Professeur Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3)


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20 octobre 2015 - Merci, Jean, pour votre article et pour la page que vous accordez à notre Dame d'Afrique sur votre site. C'est gentil de votre part de faire connaître ce lieu saint, point de rencontre ouvert à toutes les personnes qui cherchent la paix et la communion fraternelle entre les hommes. Je vous assure de mes prières qui sans cesse montent de ce lieu pour vous et pour toutes les personnes qui vous sont chères.
Que Dieu vous bénisse et vous garde dans la paix.

http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2099%20-%20NOTRE%20DAME%20D'AFRIQUE
(Père Anselme TARPAGA, Basilique Notre Dame D'Afrique)

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18 octobre 2015 - Merci pour l'information et ravi que notre travail suscite votre intérêt. Bravo également pour votre site que je viens de découvrir et dans lequel je compte me replonger au plus vite tant il est riche et passionnant.
http://marockersco.blogspot.fr/search/label/a%2015%20-%20FR%C3%88RES%20D'ARMES%20MAROCAINS%201
(Christophe Touron et Jean-Claude Riera, auteurs)

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14 septembre 2015 - Bravo. Franchement tu es fort.
(Docteur Chamyl Boutaleb, Président de la Fondation Émir Abd-El-Kader)
 
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 Merci, Monsieur Kersco, c'est vraiment magnifique. 
(Ambassade d'Égypte en France)

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2 août 2015 - J'ai lu avec grand plaisir le compte rendu exhaustif de Massinissa et ses diverses annexes. Les lecteurs disposent ainsi  d'un tableau complet de la bataille de Zama (les historiens sont tombés d'accord pour la situer à Jama, dans la région du Kef). J'ai utilisé sur le champ les paroles de Churchill dans un article que je terminais pour un site berbériste.
Merci d'avoir donné de votre temps et de votre énergie à cette recension si riche.
Houaria Khadra
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2097%20-%20MASSINISSA%20LE%20GRAND%20AFRICAIN 

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22 mai 2015 - J’aime beaucoup votre compte-rendu de mes ouvrages. C’est précis, enlevé, et vous faites bien ressortir l’originalité et l’intérêt de l’action de Urbain. C’est  une excellente  recension « grand public », ce qui est  rare. Je vous en félicite donc et vous en remercie chaleureusement.
Michel Levallois
 
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En remerciement à la conférence que nous avons donnée à Sétif le 17 mai 2015 :


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10 mai 2015 - Votre recension est très drôle et sympathique !!!
http://caucasekersco.blogspot.fr/search/label/a%2035%20-%20UNE%20FEMME%20EN%20IRAK

(Anne Nivat - Grand reporter)
 
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16 mars 2015 -  Je vous remercie pour votre article et pour l'intérêt que vous portez au musée de la Compagnie des Indes,


                     (Chargé de communication - Musée de la Compagnie des Indes -  Ville de Lorient)

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 27 février 2015 - C'est parfait.
( )

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25 février 2015 - Merci pour cette très belle recension !
 ( )

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5 décembre 2014 - J'ai fait nombre de conférences sur le Moyen-Orient et l'Asie, et Jean Kersco, en accord avec moi, en a fait la recension sur son site, avec des illustrations provenant de collections privées. Tout cela en élargit l'audience internationale, pour une meilleure compréhension des peuples. Je ne puis que l'inciter à continuer.

(Bernard DORIN, Ambassadeur de France, Conseiller d'État honoraire, membre de l'Académie des Sciences d'Outre-mer)

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 3 décembre 2014 - C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai lu la recension que vous avez faite de mon livre. Vous avez su avec un rare sens de l’analyse faire une mise au point des passages les plus importants, voire les plus marquants de mon roman. Vous avez su le rendre attrayant et les textes choisis l’ont été bien à-propos. C’est un grand honneur que vous m’avez fait là. Mais on ne peut pas attendre moins d’un grand Monsieur comme vous qui, avec simplicité et sincérité, se met à l’écoute de tout un chacun. Un grand merci.
 (Zohra Maldji - une vraie "Frangérienne")
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2071%20-%20ENFIN%20UNE%20FRANG%C3%89RIENNE

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22 novembre 2014 : Vous avez fait un compte-rendu de Jugurtha... exhaustif, bien informé et élogieux. Vous m'offrez sur un plateau un beau cadeau, ce dont je vous remercie beaucoup. 
(Haouaria Kadra, historienne)
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2086%20-%20JUGURTHA  

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30 septembre 2014 : J'apprécie votre travail, qui prouve que vous avez lu mon livre avec  attention.
(José Lenzini)
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2082%20-%20LA%20PRINCESSE%20DES%20SABLES%202

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26 septembre 2014 : Merci, cher Jean Kersco, pour votre lecture si attentive de mes 818 jours. Je connaissais la plupart des illustrations dont vous avez agrémenté votre texte, je les ai trouvées finement utilisées. En vous souhaitant de nombreuses visites.
(François Salvaing)
http://marockersco.blogspot.fr/search/label/a%206%20-%20818%20JOURS

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6 mai 2014 : Merci, c'est parfait et vos commentaires sont les bienvenus !

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Merci de votre compte-rendu, qui montre l'acuité de votre lecture. Vous avez très bien rendu le sens général de mon ouvrage.
(Jacques Frémeaux, professeur à l'Université Paris Sorbonne-Paris IV, membre de l'Académie des Sciences d'Outre-mer)
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2078%20-%20LES%20BUREAUX%20ARABES

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janvier 2014. Je vous remercie infiniment de votre très aimable et flatteur intérêt … Je lance l'été prochain, si le Ciel me prête vie, un portail internet des études sur l'Eurasie Centrale et ne manquerai pas de signaler votre très riche site et ses magnifiques archives.   

(Stéphane Dudoignon)
http://caucasekersco.blogspot.fr/search/label/a%2023%20-%20LE%20PEUPLE%20BALOUTCHE 
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C'est très bien, merci infiniment.
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Je transfère le lien à la famille qui y portera un grand intérêt, c'est très bien fait.
merci pour votre action.

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http://tunisiekersco.blogspot.fr/search/label/6%20-%20CARTHAGE%20PUNIQUE%20ET%20ROMAINE  

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Je vous fais part de ma grande satisfaction à lire votre lecture si attentive au contenu de ma thèse et je vous remercie de donner ainsi un second souffle sur la toile à un texte qui s'éloigne des centres d'intérêt de nos contemporains obsédés par l'actualité.
(Daniel Rivet)


http://marockersco.blogspot.fr/search/label/a%201%20-%20LYAUTEY%20LE%20MAROCAIN%201

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Merci. C'est parfait !
Au plaisir de vous rencontrer un jour !

(Bernard Dupaigne, Docteur en études extrême-orientales, Membre de l'Académie des Sciences d'Outre-mer)

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 Merci beaucoup,
Bonjour de Vladivostok

(Thomas Goisque, journaliste)

http://empirkersco.blogspot.fr/search/label/a%2032%20-%20OMBRES%20MILL%C3%89NAIRES%20EN%20AFGHANISTAN
 

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C'est  la meilleure recension qui ait été faite de mon livre.
(Rémy Madoui)
http://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2026%20-%20TROIS%20EN%20UNhttp://dakerscomerle.blogspot.fr/search/label/a%2026%20-%20TROIS%20EN%20UN


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Je me permets de vous contacter suite à votre message pour Son Excellence X Conseiller diplomatique du Président. Monsieur l’Ambassadeur vous remercie de votre message et se souvient de votre réunion à l’Ambassade de France en Z. Il a bien été informé des articles de votre blog "dakerscocode" dont il est bien satisfait.


(Une république du Caucase)

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 Commentaires sur le livre "Quand le merle sifflera"
(El Watan)

28 - Quel était votre but en arrivant en Algérie ?
J'étais officier des Affaires Algériennes, volontairement. J'ai choisi d'aller en Algérie pour montrer qu'il était possible de faire la paix. Dans un premier temps, je suis parti faire un stage de fin d'études de deux mois (1959) . J'ai très vite compris que nous nous dirigions vers une Algérie indépendante. Je suis retourné dans les SAS. Nous étions rattachés à la sous-préfecture. J'ai choisi Sétif comme zone d'affectation. Je fus alors nommé adjoint à la SAS de BeniFodda (Sillègue).

À mon arrivée, la première question que je me pose est la suivante : dois-je tutoyer ou vouvoyer mes interlocuteurs ? Je décide de vouvoyer tout le monde, sauf les enfants du centre sportif et mes hommes. Il ne s'agit pas de faire la guerre ou des fouilles. Nous devions entraîner la population dans des choses positives : les enfants grâce au foyer sportif, les femmes et les jeunes filles grâce à un ouvroir, où elles apprenaient aussi bien à coudre qu'à soigner. 

Nous organisions des tournées médicales dans les villages, des chantiers de piste étaient ouverts pour faire travailler les gens et désenclaver les hameaux. Notre objectif était de préparer la fin de la guerre, et surtout en trouvant  des emplois aux jeunes.

Certains jours, il fallait prendre des décisions compliquées. En juillet 61, le FLN voulait peser sur les négociations et avait décrété une grève générale. Je venais d'arriver dans la SAS, j'avais ouvert un chantier. Mais je considérais que je n'avais pas à m'occuper de politique. Alors j'ai refusé les arrêts de travail de mes ouvriers sans justificatif; Ceux qui voulaient aller manifester pouvaient le faire, à condition qu'ils trouvent un remplaçant.

Français, vous travaillez pour l'armée. La population ne vous était-elle pas hostile ?

Pas du tout, le village était calme. À  la SAS, nous ne faisions même pas de ronde de garde la nuit. Ce qui m'étonne, c'est qu'il y ait eu la guerre. Dans les grandes villes il y avait l'OAS, mais dans ce village, il n'y avait plus de pieds-noirs. Je n'ai jamais vu de violences.

À la fin de la guerre, vous avez pu filmer les fêtes de l'indépendance à Sétif …
J'avais fait le mur (de la caserne de Sétif) pour filmer. Le jour de l'indépendance, j'étais en civil. J'ai suivi la foule. Je me suis retrouvé par hasard au grand meeting qui avait lieu au stade de Sétif. J'étais placé très haut, accroché à un grillage, les gens me soutenaient. J'ai filmé le meeting : il y avait Ferhat Abbas, que je ne connaissais pas à l'époque.

D'un point de vue technique, il fallait remonter la caméra comme un réveil et les bobines de film devaient être changées toutes les deux minutes. Enfin, il y avait la cellule pour mesurer la lumière. J'avais des bobines de films neufs et usagés plein les poches. J'ai utilisé tous mes rushs pour en faire un documentaire de 15 minutes.

Quelle était l'ambiance dans les rues de Sétif pendant ces deux jours de juillet 1962 ?
Le premier jour, la fête se passait dans le stade. Les gens assistaient aux discours. Mais le lendemain, la foule a envahi les rues. La population était très joyeuse et très bon enfant, absolument rien à voir avec ce qui s'est passé à Oran, par exemple. C'était une joyeuse pagaille, il y avait des gens dans tous les sens, à pied, à  cheval, en voiture, en camionnettes. Les drapeaux étaient partout, il n'y avait aucun militaire. 

Mais on voyait beaucoup de femmes et de jeunes filles habillées d'une jupe verte, d'un chemisier blanc et d'un foulard rouge. Cela a duré pendant toute une journée. Je n'ai vu aucune manifestation  vindicative ou agressive, c'était très étonnant. J'ai été arrêté par un couple avec un petit garçon : ils voulaient que je les filme. Ils m'ont dit : "vive l'amitié franco-algérienne". Les gens étaient heureux de cette indépendance. La veille de l'indépendance, il y a eu un grand rassemblement, les hommes d'un côté, les femmes de l'autre.

.............................................Yasmine Saïd
.............................................El Watan
.............................................Numéro spécial sur le cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie 

27 - J'ai beaucoup apprécié "Quand le merle sifflera" de Jean Kersco.
Les faits qu'il relate sont tout juste postérieurs à ceux racontés dans mon livre, "Képi bleu dans les Aurès". Nous avions la même ambition, que cela se passe le moins mal possible après notre départ, pour ceux qui avaient fait confiance à la France.

Il ressort de ce livre une suite d'événements et de détails vécus qui lui enlèvent le titre de roman, tellement ils sont vrais pour celui qui a vécu la vie de S.A.S.
Bravo pour ce témoignage et les mesures prises par Jean Kersco dans une période si tragique.
........................................... Jean-Louis EYMEOUD (6 décembre 2011)
26 - Je vous encourage à parcourir la riche documentation de la rubrique "Algérie" (du site "dakerscocode" de Jean Kersco). Elle est fort intéressante et participe à élargir notre champ pluriel de connaissances sur notre inlassable sujet d'étude et de partages. Celle du Savoir est la seule voie possible à la compréhension des événements, des hommes, de l'Histoire de notre terre commune.
............................................................... Eric Wagner (11 octobre 2010)


http://dalgerie-djezair.viabloga.com/

 

Le MOUVEMENT D’Algérie-Djezaïr a été officialisé par plus d’une centaine de membres fondateurs résidant dans le monde entier, le 22 juin 2008 à Saint Denis (Paris - France). Il est ouvert à toutes celles et ceux qui voudront le rejoindre, natifs d'Algérie, et leurs descendants.

25 - Un roman historique du putsch de 1961 à l'Indépendance de l'Algérie en 1962... dont l'auteur Jean Kersco , saint-rémois.
« Quand le merle sifflera... dis aux ouvriers de se préparer à travailler, car demain il fera beau. » C’est un vieux dicton breton qui a servi de cadre à la feuille de route que s’est donnée un jeune officier appelé en Algérie : comment faire la paix en moins d’un an ? Pour cela, il a fallu innover. Ce livre est à lire par les enfants des banlieues, particulièrement celles et ceux de racine algérienne. 

Ajoutons ceux qui n’ont pas oublié que Napoléon Bonaparte avait choisi un garde du corps musulman, car il savait ce qu’il faisait ; ceux qui se grattent la tête en voyant ce qui se passe en Irak ; ceux qui se demandent encore si la politique algérienne du Général de Gaulle était la bonne ou non ; tous les Algériens qui ont rêvé des lendemains qui chantent, pas de ceux qui déchantent ; enfin vous-même, qui jetez par hasard un œil sur cette couverture et qui êtes d’accord avec ce principe : « Si tu ne veux pas la guerre, prépare la paix. »
................................................................. Jean-Luc
http://www.over-blog.com/profil/blogueur-50325.html

(La gazette du pays montfortois est une mine de renseignements sur toutes les activités d'une agglomération de communes centrée sur Montfort l'Amaury, près de Rambouillet ( que Napoléon Ier a préféré choisir comme sous-préfecture des Yvelines ). Dans le domaine personnel d'Anne de Bretagne, le cœur de
François Ier a longtemps été conservé au Prieuré de Haute Bruyère, annexe de l'abbaye de Fontevrault. Une partie de l'histoire de la France, comme chacun sait, s'est écrite à Monfort l'Amaury, à l'instar du Boléro de Maurice Ravel.
La gazette du pays montfortois est un exemple - citoyen - à suivre dans toutes les communautés d'agglomération. Elle est consultée dans 18 pays. )

24 - Je tiens à vous témoigner de l'intérêt puissant que la lecture de votre livre procure au passionné d'histoire. Cette période de la fin de la guerre d'Algérie est en effet très difficile à rendre tant les contradictions de l'époque auxquelles se sont ajoutées ensuite les intérêts contradictoires face à la manifestation de la vérité, qui ont porté à la caricature la majorité des témoignages. Il faut donc savoir être fort pour que l'histoire rende justice à tous ceux qui ont eu à souffrir, le mot est faible, d'avoir cru, et je préfère ne pas entamer la liste des croyances qui ont fait tant de victimes.

 Votre livre et - je n'en doute pas - le film que vous avez tourné à l'indépendance sont des contributions nécessaires à la paix qui doit régner sur terre, comme à l'amour qui se répandre parmi les hommes, pour que demain nos enfants ou leur enfants aient un peu de joie dans le coeur. 

Le chemin est encore long, et je crains que le découragement pour les uns et les combines partisanes pour les autres ne fassent s'écarter nos amis algériens d'une part de leur vérité. Mais comme dit l'autre, il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer! merci encore
...................................................................... "L'ami lyonnais" 10/6/2010

23 - Prenez un jeune ingénieur TP 59. Envisagez-le amateur éclairé de stratégie militaire, allant des Royaumes Combattants chinois ... au début de la guerre d’Algérie. Donnez-lui la possibilité de faire son stage de fin d’étude en Algérie, avant son service militaire. Vous aurez ainsi Jean Kersco. Au vu de ce qu’il comprend, de ce qu’il entend et de ce qu’il risque, il décide de tenter sa baraka. Non dans l’armée française, mais dans les SAS, où il disposera simultanément de la stratégie, du pouvoir et des armes. Avec pour objectif d’obtenir 99,9% des voix, toutes tendances confondues, si élections - non truquées - il y avait. 

Le summum de l’art de la guerre étant de savoir quand et comment faire la paix, il lui aura fallu constamment innover, avec un succès total au rendez-vous. La fin des hostilités met Jean Kersco en disponibilité. Pour bien marquer le coup, il filme les fêtes de l’indépendance à Sétif. «Vous étiez gonflé» lui dira plus tard Alain Peyrefitte, pensant à ce qui s’était passé à Oran.

Puis il décide d’attendre 50 ans avant d’écrire un livre «Quand le merle sifflera» (première édition quasiment épuisée). Il n’explique pas le pourquoi, mais raconte le comment. Il lance aussi le blog «dakerscocode» où des mises à jour, par des articles ciblés, prolongent l’information générale de tout un chacun. Enfin, il ne manquera pas de répondre aux interrogations des camarades qui lui enverront des courriels à jeankersco619@gmail.com

Même 50 ans plus tard, le psychodrame engendré par cette guerre reste très fort en France. En Algérie, c’est encore pire. Et pourtant Jean Kersco est en «négociation» avec la wilaya de Sétif pour y projeter son film. L’affaire est de taille, puisqu’elle va dans le sens de l’Union pour la Méditerranée. 

À quoi bon, direz-vous ? C’est que la paix reste chose fragile, et que trop de clignotants avertissent que le réchauffement climatique, le manque d’eau, la surpopulation, le chômage ou le fanatisme pourraient inciter les peuples du sud de la Méditerranée à tenter leur chance au nord, au besoin par la force, et peut-être même avant 20 ans. Essayer d’enrayer cette dynamique n’est donc pas stupide.

............................................. La lettre de l'association des ingénieurs ETP (École Spéciale des Travaux Publics) 1/12/09

22 - Le ton simple et naturel reflète bien l'attitude toujours respectueuse du personnage de François. Oui, il force l'admiration ce jeune chef de SAS qui, à son niveau œuvre pour la paix et l'Algérie nouvelle. On se prend à rêver : " pourquoi ne furent-ils pas plus nombreux à lui ressembler ?". Mais non, les rendez-vous avec l'histoire continueront à être ratés au détriment d'un peuple qui mérite tellement mieux... François l'avait forcément compris.
Merci pour votre livre .
............................................. Claude Parizot (Association du jumelage Rennes-Sétif) 14/2/09

21 - Votre livre : " gagner pacifiquement cette guerre, " peut être interprété comme un testament de perte d'une guerre mais aussi une victoire sur la ou les misères notamment si vous êtiez à l'époque affecté dans un poste isolé du bled.

Par le pur fruit du hasard des correspondances épistolaires entretenues pendant presque une décennie durant les années 1980 et même jusqu'à la fin de ses jours avec l'une de vos défuntes consœurs en la personne de Madame Francine DESSAIGNE, occasion par laquelle Monsieur Maurice FAIVRE lisait une émouvante oraison funèbre lors de ses funérailles, où il citait mon nom en tant que correspondant de cette regrettée romancière disparue, je me trouve un peu surpris de le lire chez vous.

L'écriture de la préface de votre livre par celui-ci participe à la valeur ajoutée de votre volume non encore lu par moi, par sa plume d'écrivain et d'acteur durant les événements que vous évoquiez.
Votre témoignage sur la façon dont la guerre s'était terminée et les festivités qui l'avaient accompagnées pour célébrer la liberté retrouvée à cette époque du début des années 1960, peut favoriser la compréhension du pourquoi et du comment, la recherche des documents d'archives par les uns et par les autres de quelques positions qu'ils soient hier comme aujourd'hui, pour uniquement honorer pacifiquement la culture légendaire, le devoir de mémoire, raconter les souvenirs et sauvegarder le patrimoine commun.

J'aimerai voir apparaitre des articles, des livres, des commentaires, des critiques, des observations, des témoignages sur fond de photos de nos autres camarades de la 19ème division d'infanterie, 4ème régiment de dragons, 4 ème escadron, franchise postale aux armées 86692 AFN, poste militaire français d'El-Maïn installé le 7 Avril 1957 au siège de l'école avec construction d'un mirador d'observation sur la colline qui la domine et qui décampe le 12 Mai 1962, les scènes de vies au village, l'école, les fontaines, les paysages, la piscine, les cafés maures, le cordonnier, les boutiques commerciales, étc, étc, sur des sites et des blogs comme le vôtre dont je vous dis bravo, félicitations et bonne continuation !
............................... Un internaute inconnu "alas" (12 décembre 2008)

20 - J'ai été particulièrement intéressé par ce livre qui retrace la vie d'un chef de SAS du contingent dans un territoire qui dès 1945 a connu des journées dramatiques qui rappellent le jugement d'Albert Camus sur la guerre d'Algérie " ... ce sont les noces de sang entre terrorisme et répression ..." L'auteur de " Quand le Merle sifflera " a été protégé par une immense baraka. Et par ailleurs il a su manifestement obtenir la confiance de ses hommes, tout en étant respectueux de l'identité de la population musulmane d'un douar de plusieurs milliers d'habitants. Enfin il nous donne rendez-vous dans les années 2030, suite à la période pré-munichoise que nous allons vivre.

Un livre à relire par nos enfants qui devront faire face.
J'ai pu depuis rencontrer Jean Kersco. C'est un homme généreux et de rayonnement.
................................................... Pierre Montastruc - (janvier 2009), - Ancien Lieutenant en Algérie 

19 - J’ai terminé la lecture de votre livre et même relu certains passages. Un style alerte doublé d’humour rend la lecture facile et agréable. J’ai donc passé de bon moments avec le sous-lieutenant Delorme. Un récit rigoureux et sans concessions était donc nécessaire pour raconter La vie dans une SAS. Et l’attitude de l’Armée française. Bravo pour «l’épilogue» de cette guerre dont on tait trop souvent les conséquences. J’ai donc appris beaucoup que je ne savais pas encore. 

Quant au sort des harkis, je pense qu’une ombre entachera l’histoire de France, une ombre de lâcheté et de cynisme. C’est bien que vous leur ayez donné la parole, et que vous ayez eu le courage de dire en face comment on les a volontairement abandonnés aux couteaux de leurs bourreaux. Tout ça nous laisse un arrière petit goût d’amertume, mais le temps passe, et l’oubli efface tout. 

Un jour, nous aurons disparu, mais le témoignage écrit restera. Peut-être alors, quelques jeunes gens, qui liront votre écrit, prendront conscience que nous n’avons « pas fait que de belles choses » en Algérie, comme dirait mon voisin Albert.
Alors, inch’Allah! On peut n’être pas croyant, mais penser que la sagesse qui se cache au fond des religions, est un bien universel.

........................................................ Marcel GOZZI - (décembre 2008), - Ingénieur des Mines de Nancy, co-auteur avec Albert Naour de «La jeunesse d’Albert» - LIV’EDITIONS - Site LIV"EDITIONS : cliquer Auteur - choisir Gozzi - choisir La jeunesse d'Albert et consulter les commentaires.


18 - Bravo, Jean Kersco !
J'ai découvert dans ce livre une version pacifique et optimiste de la guerre d'Algérie autre des récits narrant les mitraillages à tout va et les expéditions punitives. Commencer par négocier aurait évité tout ce gâchis.


...................................................................... Hervé Droual (Coiffeur styliste - décembre 2008)


17 - J'ai bien apprécié l'approche respectueuse employée par le héros du récit et sa capacité à prendre des décisions dans des situations délicates. Je ne serais pas surpris qu'il s'agisse de l'expérience même de l'auteur dont nous fait part cette histoire. Je ne peux qu'admirer les résultats obtenus et souhaiter que les décideurs des pays d'aujourd'hui s'en inspirent. Le monde ne s'en porterait que mieux !

Mais ce principe de vie qu'est le respect peut être aussi fort apprécié à des échelles plus petites dans les relations de chacun tous les jours. Bien des conflits interpersonnels n'auraient jamais vu le jour si tous avaient fait preuve d'un peu de respect tel le héros de ce livre. Il a su tenir compte de la culture des gens qui l'entouraient sans chercher à imposer la sienne. Il a bien pris soin de ne pas provoquer ses interlocuteurs en tenant compte des différences culturelles.


Évidemment, ceux-ci le lui ont bien rendu. L’adage qui dit que le respect attire le respect est encore une fois bien mis en évidence.

.............................................................
François Kirouac
Président de l'Association des Familles Kirouac inc. (Canada et Etats-Unis)
Pour tout connaître sur cette association, y compris Jack Kerouac :
http://www.genealogie.org/famille/kirouac
 

16 - « Je l'ai lu d'une traite... Avec toute la curiosité qu'aurait pu éprouver un jeune adolescent, Pied noir Oranais d'extraction andalouse - donc habité de préjugés amers chaque jour repeints au sang des innocents - battant les hautes terres brûlantes, entre douars, oueds et mechtas, marchant presque en sifflotant, les mains dans les poches, en la rassurante compagnie d'un mentor protégé des Dieux tel que François Delorme. 

Que n'avez-vous clos votre récit (le lecteur d'aujourd'hui est bien insatiable, n'est-ce pas !) sur les mots bleus d'un képi couleur d'azur enfin libéré... J'aurais pu vous donner mon sentiment sur le style, le point de vue, la densité... Nous aurions pu évoquer ici le Rivage des Syrtes, ailleurs l'atmosphère oppressante du Désert des Tartares où les fellaghas s'appelleraient Godot puisque votre aquarelle (prérogative interprétative du lecteur...) se refusant à la facilité et au voyeurisme des tonalités violentes renâcle à montrer des combattants et se contente souvent d'en suggérer les lointaines silhouettes. Camus fut professeur au lycée Lamoricière où je suis passé quelques années plus tard, trop tard, en sixième. 

Delorme me fait penser à Meursault lorsqu'il se révolte contre un monde (absurde ?) de décolonisation au pas gymnastique, sans s'adosser confortablement à un système politique estampillé qui l’aurait dédouané par avance de toute « erreur » de jugement ; un "peu en l'air", comme aurait pu dire Sartre, en forgeant sa propre responsabilité au feu d'un existentialisme (pour conserver les référents) qui ressemble, pour le coup, à un authentique humanisme. Mais le sous-lieutenant Delorme n’est pas un philosophe décalé, ni un pur esprit, il est sommé d’agir concrètement… 

Et il assume, prenant tous les risques, tiraillé entre impatience et calcul de probabilité, pour faire prévaloir ses généreuses conceptions. A-t-il eu raison, était-il dans le « vrai » ? Qu’importe puisqu’il a œuvré avec l’intelligence de l’instant pour une paix soutenable, cette chimère à laquelle personne ne croit durablement bien sûr… Son sens de l’engagement (rien à voir avec l’honneur militaire), sa jeunesse lui vaudront toutes les grâces. Sa qualité « d’étranger » lui tiendra lieu d’immunité. Son humour en demi teinte – on aime à voir sa fierté fondamentale malmenée sur la selle de son premier cheval d’orgueil, au point de lui valoir huit jours d’exemption – équilibre et adoucit l’aspect documentaire de son livre cri, je veux dire de son témoignage. À bon entendeur ...

Voilà approximativement sur quelles représentations j'aurais pu refermer votre roman en laissant le dernier mot, pour la route, aux Sources du vent de Pierre Reverdy, quand les feux du désert s'éteignent un à un, quand les yeux sont mouillés comme des brins d'herbe... Mouillés de l'eau de Dieu ? 


Mais vous avez choisi d'épiloguer sur un feu d'artifice de notes d'étude qui font rebondir maints questionnements reliés à l’actualité alors que la rêverie de l’après lecture s'installait et là, honnêtement, il convient de prendre le temps de réfléchir avant d'en parler car, n’y voyez aucune malice cher M. Kersco, vous et moi sommes peut-être (encore et toujours l'arrogance du lecteur) au moins par procuration, la matière, la chair vivante et sensible de votre roman. Toujours sensible. »
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Pierre Navarro (Professeur - 17 septembre 2008) 

15 - "Roman historique", cet ouvrage met en scène un jeune officier appelé, affecté dans une SAS de l'ouest Constantinois, pendant la dernière période de la guerre d'Algérie. De 1961 à 1962, après le "putsch", les opérations militaires sont quasi arrêtées, on attend l'indépendance et pourtant les SAS continuent à œuvrer. Non conformiste, "notre" sous-lieutenant remplit intelligemment, humainement et efficacement ses fonctions. Les anecdotes, drôles ou non, toujours significatives, éclairent le travail de ces soldats de la pacification. L'épilogue de ce livre peut parfois surprendre : "Bouteflika président en 1968 ?", mais on ne peut qu'entièrement adhérer à la condamnation de la politique déshonorante d'alors envers les harkis.
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Yves Naz ( L'Algérianiste n° 121 de mars 2008 )
 
14 - Que faire quand on a en main les pouvoirs d’un chef de SAS en pleine guerre d’Algérie ? Pourquoi ne pas décréter la fin de la guerre et mettre en route la révolution ? Encore faut-il avoir l’assentiment de la population, des militaires … et du FLN ! Comment faire ? Il suffisait d’avoir lu le livre, qui contient les recettes : de l’argent pour les chantiers, un ouvroir pour les femmes, une infirmerie pour tous, un métier, une culture et une responsabilité pour les jeunes, en particulier pour les filles, le tout dans l’ordre et le respect mutuel. 

C’était une expérience, elle a réussi. Pour preuve, l’invitation par les autorités algériennes à assister aux fêtes de l’Indépendance et à les filmer. Tableaux d’une population pleine d’humour, d’un bon travail d’équipe, et bye bye la guerre. Pour en savoir plus : https:/dakerscocode.blogspot.fr un site déjà plus consulté en Amérique qu’en Europe. Mais rien en Afrique. Pourquoi ?
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Extrait du catalogue des auteurs et des livres du "Maghreb des Livres 2008"
(Le Maghreb des Livres est l'un des événements culturels-phares pour les Maghrébins de France et pour les Français attachés au Maghreb : plus de 6000 visiteurs en 2007 - Salon 2008 les 23 et 24 février) - Organisation par l'Association "Coup de soleil" et de nombreux sponsors.
 

13 - "Quand le merle sifflera" est un roman-vérité qui révèle une des facettes de la guerre d’Algérie restées peu connues, et dans certains cas même inconnues, tant en Algérie qu’en France. Avec cet ouvrage, Jean Kersco a voulu exhumer des épisodes locaux particuliers qu’il nous fait revivre à travers les péripéties vécues en 1961 par François Delorme, jeune appelé parisien qui se retrouve sous-lieutenant, chef de SAS dans un bled de la région de Sétif.

SAS ? Si certains Algériens l’avaient compris comme «Service d’action sociale» créé en catastrophe dans la tourmente pour distribuer de la semoule aux miséreux, très nombreux furent ceux qui, pour l’avoir subi, y virent un moyen de répression militaire avec recours aux harkis. «Autant le premier terme de cette égalité, répond quant à lui l’auteur, est incompréhensible et incohérent, autant le sigle qui en résulte est joliment symétrique et sonne bien».


 Les Sections Administratives Spécialisées constituaient en fait, comme nous l’explique cet ouvrage, une sorte de résurgence des Bureaux arabes créés au début de la colonisation et supprimés par la Troisième République, «mauvaise fille, sous la pression de colons influents».

Esprit pacifique et animé par un réel et profond désir d’œuvrer pour la Paix, François Delorme évolue et opère donc à contre-courant de la politique de pacification officielle de l’armée. Il veut - et réussit au moins à son échelon - regagner à la France la confiance de populations qui furent administrativement oubliées et lésées pour tout ce qui concernait leurs droits pendant plus d’un siècle.
"Quand le merle sifflera" est un livre qui donne à méditer : L’expérience et l’œuvre de François Delorme fournissent un exemple de ce qui aurait pu être fait - non pas pour tenter de rattraper le temps perdu tout au long de l’ère coloniale - , et qui aurait pu accompagner le cheminement vers une indépendance inéluctable tout en créant les conditions qui auraient permis d’éviter le drame dont nous vivons encore aujourd’hui des échos, des résonances et des séquelles tragiques. (28/01/08)

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Mokhtar Sakhri (Journaliste et écrivain - auteur de l’essai "La liberté des dupes" et du roman "La mort en récompense" publiés aux éditions L’Harmattan) 

12 - Vous avez vécu une période charnière de la guerre d’Algérie et les épisodes que vous racontez interviennent à un moment où le champ des possibles n’est pas encore clos. D’où leur intérêt historique.

Je pense que, sur le fond, la grande qualité de votre témoignage (je continue à préférer ce mot à celui de roman) est de montrer que l’on peut toujours, même dans les rapports de force, voire de guerre, qui font le quotidien d’un officier en campagne, conserver le regard et surtout la pratique de l’humaniste. Une pratique que vous ne définissez pas au coup par coup quand les circonstances se présentent mais qui s’impose d’elle-même parce qu’elle est sous-tendue par des convictions : le respect naturel de l’autre, principalement. 


Cette qualité n’est pas si répandue. Si elle l’était, on n’en serait pas à déplorer les occasions manquées de l’Histoire. Je pense que ce livre a pu avoir sur vous un effet de catharsis. Vous devriez aller plus loin. Mon conseil (mais je ne suis pas le payeur...) est de vous mettre de nouveau devant vos feuilles blanches, pour accoucher d’un récit plus personnel, plus intime. 

Les circonstances vous ont placé dans un temps et dans un lieu où le dialogue des civilisations pouvait prendre toutes les formes, même les pires. Vous avez là une matière extraordinaire pour parler de ce dialogue, inéluctable en ces temps de mondialisation et de brassage des peuples, non pas de manière éthérée, mais dans le concret des rapports humains.
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Hervé Quéméner (Journaliste, co-auteur avec Patricia Dagier de «Jack Kerouac - Au bout de la route ... la Bretagne», co-auteur avec Kofi Yamgnane de «Europe Afrique, nous grandirons ensemble») 

11 - Après avoir assisté à la grande pagaille de la mobilisation populaire en banlieue parisienne, notre ami ne se fait plus d’illusion sur le maintien de l’Algérie française. Sans considération pour les directives officielles, il organise le ramassage scolaire dans des douars qui lui sont hostiles, et récupère une famille en zone d’insécurité. Il s’efforce alors de préparer la population au changement inéluctable, et de construire avec elle un avenir pacifique auquel pourraient se rallier des indépendantistes intelligents, en coopération avec la France. - 4/01/2008 - (Extrait de «L’action sociale de l’armée en faveur des musulmans» - Editions L’Harmattan)
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Général (2S) Maurice Faivre 
(Vice-président de la commission française d’histoire militaire, Membre titulaire de l'Académie des Sciences d'Outre-mer)
www.mauricefaivre.fr
 

10 - Ce livre écrit sous le couvert de la fiction par un jeune sous-lieutenant du contingent, ignorant presque tout de l’Algérie, raconte son aventure en 1961 et 1962, hors des sentiers battus. Chargé d’administrer une population isolée dans ses «douars» lointains des hauts plateaux sétifiens, il trouvera seul, lucidement, pragmatiquement, presque instinctivement, les solutions innovantes qui lui permettront de réussir sa mission.
 

Il arrivera même à la fin à sauver ses «moghaznis» que, pour obéir aux ordres reçus, il devait abandonner à la mort atroce qui les attendait.

En le lisant, le souvenir - estompé par le temps - de ces années de feu et de sang vécues à Sétif au-delà de la proclamation de l’indépendance, surgit, toujours vivant, de ma mémoire. Comment en effet oublier le gâchis généré par l’impéritie ou l’aveuglement des gouvernements français successifs, incapables de comprendre l’importance cruciale d’une stratégie globale prenant en compte d’autres facteurs, au moins aussi essentiels, que l’anéantissement militaire de l’adversaire et l’éradication du terrorisme, ainsi que la conclusion à la va-vite et à n’importe quel prix, d’un accord mettant fin au conflit avec un ennemi exangue, dont l’effet dévastateur perdure encore de nos jours, en Algérie surtout.
 

Comment ne pas me souvenir du jour de l’indépendance à Sétif ? Une foule musulmane innombrable, joyeuse, pacifique, détendue, arpentait inlassablement l’avenue principale de la ville sous les youyous des femmes, les drapeaux vert et blanc flottant au vent, hurlant des slogans patriotiques. Sur les trottoirs, ou assis à la terrasse de cafés qui bordaient l’avenue, les Européens étaient là aussi, un peu sidérés, mais sans inquiétude. 

Il y avait également le sous-lieutenant Delorme en uniforme, filmant comme il l’entendait cet événement extraordinaire, seul de son espèce - si je puis dire - car toutes les troupes françaises, sans exception, étaient consignées à ce moment dans leurs casernes. Je ne l’ai su par hasard que 45 ans plus tard. J’étais également dans cette même foule, un peu amer, en pensant au combat livré pendant cinq ans avec les anciens combattants européens et musulmans pour empêcher la cassure entre les deux populations que rien, au fond, ne séparait, et réalisant surtout qu’un petit coup de pouce aurait été suffisant pour que les choses évoluent différemment.
 

Comment oublier le long entretien que j’ai eu à Sétif, à sa demande, avec Ferhat Abbas, président du GPRA. Il avait appris, je ne sais comment, que mon départ définitif était proche. J’étais lié avec lui depuis des années par une solide amitié, et il a vainement essayé de me dissuader de partir.
 

Je ne savais pas, en prenant congé de lui que c’était la dernière fois que je le voyais et que l’espoir d’une Algérie démocratique où tous - y compris les pieds-noirs - avaient leur place, allait bientôt disparaitre avec lui. Quelques temps après, en effet, il était assigné à résidence à son domicile par les nouveaux maitres du pays. Je ne l’ai jamais revu depuis.
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Jacques ZERMATI (vice-Président de l'association des anciens combattants de Sétif) 23/11/07


9 - Malgré l’inéluctable vision de l’indépendance de l’Algérie par De Gaulle, ce jeune officier appelé a continué à servir la population à travers sa mission qui touchait plus chez lui de l’humain que du militaire. “On est responsable de ce qu’on a apprivoisé” (Antoine de Saint Exupéry).
En tant que roman historique, j’aurais préféré voir apparaître les noms des personnages et des lieux pour situer précisément l’action.

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Michel HONORÉ (Sous-officier parachutiste appelé - 14ème RCP) 19/11/07

8 - La lecture de ce livre et de cette histoire vécue m’a intéressé au plus haut point.J’y ai retrouvé, entre autres, des paysages et des atmosphères, des attitudes et des comportements, que j’ai connus à une autre période de l’histoire de ce pays.
 

Si le travail exécuté par ce jeune officier avait été mis en place de façon généralisée dès la Libération, voire quelques années plus tard, le cours de l’histoire eût sans doute été différent.
 

C’est un travail formidable, mais à une époque où les dés avaient été jetés. Les égoïsmes, nationalismes et appétits divers ont contrarié un futur qui aurait pu faire vivre une indépendance - inéluctable à mon avis - dans d’autres conditions, et surtout de façon paisible.
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Michel NEYRENEUF ( Inspecteur d’académie - langue arabe ) 31/10/07

7 - Un ouvrage sur la guerre d’Algérie ... - encore un, me direz-vous ! - mais celui-là mérite d’être lu et relu, car on y découvre la saveur exceptionnelle d’un vécu étrangement serein, celui de la foi en une troisième voie, où l’humour met en pièces les erreurs de l’histoire, tandis que se mêlent aux sifflements des balles les senteurs d’herbes sèches, et l’émotion contenue d’un peuple en attente.
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Jean Mazel ( Ethno historien )
 

6 - A notre ami Jean Kersco : J’ai eu mal à l’abandon de mes chers harkis, alors que j’étais muté en Centre Afrique. Je me suis élevé contre cette injustice, mais je ne me suis jamais adressé aux journaux.
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Général Marcel BIGEARD (Officier le plus décoré de France ; ancien Secrétaire d’Etat à la Défense ; ancien député de la Meurthe et Moselle) 

5 - Ce livre se lit d'une seule traite. La compréhension du peuple Algérien (mon expérience personnelle m'indique que son analyse peut s'appliquer au peuple Arabe en général), le respect de sa culture et de ses valeurs (honneur, respect, importance de la probité et de l'exemple moral du chef entre autres) ont amené l'auteur à gagner l'estime des Algériens dans la période la plus troublée des rapports entre nos deux peuples. Ce n'est pas rien.
 

On ne peut que recommander la lecture de cet ouvrage aux Français de souche qui veulent mieux comprendre les attitudes de nos compatriotes d'origine Arabe dans la société Française d'aujourd'hui. Jean Kersco nous indique comment la cohabitation, le travail et des relations harmonieuses sont possibles entre nos peuples.
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Dr Jean-Luc BERTRAND (Président de Generation-Africa www.generation-africa.org)
••• Note de l’auteur : vous ne regretterez pas d’avoir consulté le site “Generation-Africa” •••
 

4 - Les tribulations d'un jeune officier des SAS au lendemain du putsch en Algérie. Un livre bourré d'anecdotes aussi amusantes les unes que les autres qui n'enlèvent pourtant rien à la gravité de la situation de l'époque. Un régal.
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Florence Olmi ( Élève ingénieur à l'École Nationale Supérieure d'Électrotechnique, d'Électronique, d'Informatique, d'Hydraulique, et de Télécommunications de Toulouse - ENSEEIHT )

 3 - Le souvenir (évoqué dans ton livre) de la visite que m'a faite ce jeune lieutenant abandonnant ses harkis sur ordre de ses chefs ayant été reproduit dans plusieurs journaux, le général Bigeard a aussitôt adressé à ces mêmes journaux sa réprobation, ajoutant que d'Ortho s'est présenté en véritable procureur condamnant les autorités qui ont donné de tels ordres inqualifiables.
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Gérard Lambert d'Ortho (Directeur général de la société de Sidi Salem puis responsable SAS chargé par le général Massu de la sécurité des fermes de l'ouest Mitidja - Président des cadres de l'Agriculture d'Algérie, et ce jusqu'à expulsion manu militari fin octobre 1963) 

2 - Ce document de référence ne manquera pas de combler les nombreux passionnés que nous recevons à la bibliothèque Martial Lapeyre - Fondation Napoléon.
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Victor-André Masséna, prince d'Essling ( Président de la Fondation Napoléon )

1 - J'ai achevé la lecture de votre livre dont le climat m'a ramenée bien des années en arrière, non seulement par l'époque de l'action, mais aussi par des expressions en arabe bien connues. Le style est clair, plein d'humour et très agréable à lire. Ledit François est un bel humaniste "responsable", doté d'un étonnant regard anticipateur. La partie historique est éclairée d'une manière très intéressante. Souhaitons à cet ouvrage de rencontrer le succès qu'il mérite, certes, mais aussi d'engendrer réflexion et tolérance.
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Elisa Desbonnet